Question RP novembre 2024 – janvier 2025.
- SUD-UCI-IDF
- 29 janv.
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Novembre
Question n°1
Concernant la question 10 du mois dernier, nous voulons savoir à qui ou comment un technicien se déclare-t-il hors quota horaire ? Il est à rappeler que pendant cette période le technicien ne peut être sollicité par son employeur (hors dérogation exceptionnelle). Or plusieurs salariés ont rapporté avoir été appelés par différents services dans ces plages horaires.
Pour rappel voici la question numéro 10 du mois dernier :
Question N°10
Par quel moyen l’entreprise sait qu’un technicien est hors quota d’heures de temps de travail et ne doit plus être appelé pour se déplacer lors d’astreintes.
A ce jour, il n’y a pas d’outil qui bloque le technicien, c’est au technicien de se déclarer être au maxi du quota d’heures.
Ensuite la transmission d’information est faite via le pôle de supervision ou le CSC en renseignant l’info dans le ticket Océane
Info aussi qui vient du technicien ou du manager
Réponse:
Un technicien qui est en cours d’intervention, dès qu’il arrive en quota d’heures, prévient son manager en HO ou le cadre de permanence et/ou la supervision si l’intervention est en HNO, afin de pouvoir trouver un autre technicien pour prendre son relais.
La supervision ou le cadre de permanence qui sollicite un technicien pour une intervention en HNO n’a aucune visibilité sur le fait qu’un collaborateur soit en quota d’heures si celui-ci n’a pas communiqué cette information. C’est au technicien de l’indiquer lors de la sollicitation (dans ce cas il peut réorienter la demande vers le manager).
Question n°2
Suite à la fermeture de la cantine de Lagny, l’espace de restauration C218 ne permet de manger dans des conditions acceptables
(Manque de nettoyage en général (vitres / sol /table), manque entretien du matériel de restauration, luminosité faible …),
Pouvez-vous nous dire dans combien de temps cet espace sera remis en conformité ?
Réponse: Nous avons bien pris en compte la rénovation complète (sol, mur, plafond, mobiliers, éclairage et micro-ondes/réfrigérateur) de l’espace de restauration du bâtiment C pour cette année. Celui situé au bâtiment A le sera pour 2025.
Le réfectoire étant une priorité à la suite de la fermeture du restaurant d’entreprise, nous avons des devis qui sont en cours de validation pour mise en travaux en décembre (prévoir 3 semaines de travaux)
Les vitres n’ont jamais pu être nettoyé de l’extérieur, car inaccessible. Du coup, j’ai demandé la dépose des vitres et leur nettoyage (prévu décembre).
Concernant l’électro-ménager, 2 micro-ondes neuf et un nouveau réfrigérateur seront bientôt livré pour cet espace.
J’ajoute le remplacement du mobilier par des tables et chaises qui seront récupéré sur d’autres sites.
Question n°3
Sur le site Archive, les salarié.e.s fréquentant la cantine (RIE) se plaignent d’une baisse de la quantité dans les assiettes, la direction peut-elle remédier à ce problème ou nous informer des raisons de cette baisse de quantité ?
Réponse :
Il y a 2 sujets que la formulation du mail ne permet pas de distinguer alors je les aborde tous les deux: Les quantités d’accompagnements servies et le grammage des plats
Les consignes données aux sociétés de restauration qui opèrent pour nous sont claires : Les accompagnements des plats sont servis à volonté à la demande, le salarié ayant néanmoins la responsabilité d’éviter le gaspillage alimentaire.
Y a-t-il eu un salarié dont la demande de rajout aurait été refusée par le restaurant ?
Quant au grammage (Ex :poids du steak, du poisson, des fromages découpés, des yaourts…) il est vérifié avant chaque service et le délégué local à la restauration fait des visites aussi régulières qu’inopinées.
Mon collègue en charge du périmètre se charge de faire un rappel au restaurant. Nous sommes dans un processus d’amélioration et il est important que les salariés factualisent leurs remontées (dates, plat concerné) dans le cahier de suggestion disposé dans le restaurant. En effet, il est analysé lors des comités de restaurant.
Décembre
Nous sommes de nouveau interpelés par les collègues de la CA GP de l’UCI secteur Est.
De manière factuelle :
En date du 20 novembre le manager DIR du 93 a diffusé par mail la nouvelle répartition des techniciens à compter du 25 novembre.
Cette information a été diffusée aux CA E et GP avec les lignes managériales respectives en copie.
La CA GP apprend à cette date cette nouvelle organisation, n’ayant eu aucune communication managériale en amont.
Ladite phase de test serait les quelques jours compris entre le 20 et le 25 novembre.
Depuis, il est demandé à la CA GP de ne pas toucher aux interventions de VO9, de ne pas répondre aux demandes des techniciens dans cet ilot (y compris les samedis).
L’affectation des dossiers serait assurée par les équipes PTSO.
Mais quand ces derniers vont chercher les informations par leurs propres moyens il leur est répondu que les équipes TSO ne sont chargés que de l’affectation mais pas de sa gestion à chaud.
Nous rappelons qu’aucune information concrètes ne leur a été faite contrairement aux autres intervenants qui auraient eu l’occasion de participer à au moins un atelier.
Durant ces deux semaines les équipes ont sollicité à plusieurs reprises leur ligne managériale pour avoir des informations. Ceux-ci ont systématiquement botté en touche.
Il leur a même été expressément demandé de ne pas aborder le sujet lors de leur réunion avec leur superviseur.
La CA GP est le premier interlocuteur des techniciens sur le terrain. Ils n’ont pas les coordonnées des équipes TSO.
Une réunion est prévue le 10/12 avec Mr. A. et Mr. M. Mme G. ne sera pas présente.
Le personnel est actuellement en montée en compétence entre les pilotes de Viry et Noisy afin que tous maitrisent toutes les plaques et leurs aléas.
Dans l’organisation ça se traduit par de la montée en compétence hebdomadaire en plus de la gestion de travail habituelle.
Il s’agit là de la deuxième alerte que nous vous adressons concernant ce management.
Une réorganisation des activités ne se fait-elle pas par la concertation et un accompagnement managérial ?
Ou sont les process écrit sur le traitement des SVT ?
Comment est-il possible qu’on interdise à des collaborateurs de poser des questions ?
Pourquoi aucun d’eux n’a été convié aux ateliers préparatoires ?
M. A. est-il chef de projet pour communiquer des informations concrètes ?
Sinon comment un manager des DIR peut-il répondre à des questions de CA ?
Comment un collaborateur peut-il s’impliquer dans son travail quand la possibilité de la faire correctement lui est refusé ?
Nous rappelons que le 2 juin cette équipe a fait une cession « libérer la parole » avec une intervenant externe et leur RH de proximité.
Preuve s’il en est d’un profond mal-être.
La situation se dégrade au lieu de s’améliorer.
Nos collègues se demandent si l’on cherche à « les avoir à l’usure » pour les faire partir.
Devons-nous nous poser la même question ?
Ce management laxiste et destructeur doit s’arrêter.
Réponse direction :
A la suite d’un point entre l’adjoint de la CA GP et le manager IGP 93 (échange sur ce pilote et sur les difficultés rencontrées), il a été décidé que le manager IGP 93 intervienne en réunion d’équipe de la CA le 10/12 afin d’échanger et valider le « qui fait quoi ».
Jean-Marie M. et Virginie B. en ont assuré l’animation en l’absence de Virginie G. Lors du point PO/PA, il a été effectivement estimé qu’il n’était pas nécessaire de réaborder ce sujet puisqu’il allait être abordé lors cette réunion spécifique. Il nous a également été confirmé qu’il n’est pas nécessaire d’assurer un pilotage sur les SVT le samedi
Les ilots PC3 et EP3 sont des nouveaux ilots de production E. Ils ont été créés pour faciliter le pilotage par la CA E Prod des interventions « Connect Pro » et « productions 2V1 ». Ces ilots ne sont pas à la charge des pilotes de la CA GP.
Ces créations d’ilots évitent que les 2 CA (GP et Prod E) travaillent sur les mêmes ilots.
Concernant la montée en compétence des pilotes, le projet est coconstruit avec l’équipe. Pendant la période de montée en compétences, les binômes ne sont pas affectés à d’autres activités.
Depuis l’alerte levée en juin, un gros travail a été mené par le management. La situation semble maintenant bien plus sereine et surtout un suivi est assuré pour assister Virginie.
L’état d’esprit de l’équipe, constaté sur les plateaux ainsi que lors du séminaire DPOC, s’est nettement amélioré.
Réponse RP :
Nos collègues nous ont en effet confirmé que la réunion du 10 décembre a clarifié la situation auprès des divers intervenants.
Il est pourtant inquiétant qu’il ait fallu 15 jours entre la mise en place et l’obtention des informations nécessaires.
Dans le climat actuel, on comprendra que ce comportement attentiste du management est contreproductif. Nous restons septiques sur l’état d’esprit des équipes.
Qui est allé vers eux savoir ce qu’il en est ?
Pas leur RH, qui depuis la réunion de juin ne leur a demandé aucun retour.
Pas leur management qui au séminaire DPOC n’a pas souhaité prendre la parole.
Cet épisode est le dernier exemple d’un manque de communication entre la hiérarchie directe et nos collègues. A l’opposé donc d’une co-construction comme tu l’évoquais précédemment.
A notre sens la fonction de cadre et la fonction de manager d’équipes sont deux choses différentes.
Un manager en plus d’un cadre, doit avoir des compétentes de gestion humaine.
Certains managers ont d’ailleurs dû suivre des formations spécifiques afin de valider leur prise de poste.
Ces formations sont-elles toujours d’actualité ? Sont-elles proposées à Virginie G. et son adjoint ?
Jean-Marie M., partant à la retraite en début d’année prochaine, un poste pour lui succéder est actuellement ouvert.
Pouvez-vous nous certifier que la personne retenue sera formée au management d’équipe ?
La situation actuelle est le reflet criant de manque de formation à tous les niveaux.
Janvier
Question n°1
Suite aux travaux sur le site Philippe Auguste le personnel se plaint d’une température basse aux étages 4 et 5. Quelles mesures allez-vous prendre pour rétablir le chauffage ?
Réponse:
Nous sommes bien au fait de cette problématique. Nous avons sollicité la DSGI afin de prendre les mesures nécessaires pour que la température ressentie sur les plateaux soit acceptable.
Question n°2
Où en est la campagne de mesure sur la présence de Radon faite par une société extérieure mandatée par ORANGE comme évoqué lors de la réunion de CSSCT du 4 octobre 2024 ?
Réponse :
Comme indiqué dans le DUERP, la région IDF n’est pas concernée. Toutefois, la cartographie du Radon est initiée au niveau nationale par la BLIM , nous sommes en attente de leur retour pour mise à jour.
Question n°3
Suite aux dégâts des eaux sur le site Villabé, les toilettes du RDC homme et femme sont impraticables depuis septembre 2024. Voir photo en pièce en jointe. A quelle date comptez-vous faire les travaux nécessaires à la réfection des sanitaires en question ?
Réponse :
Nous prenons en compte votre demande auprès de la DSGI concernant le sujet de la gestion des bâtiments qui concerne des salariés de plusieurs entités. Pour plus de précisions, merci de vous adresser à la Direction des Services Généraux et Immobiliers qui gère les sujets bâtimentaires.
Question n°4
Il nous a été remonté la généralisation de la présence de personnes « non-manager » en substitution de leur responsable lors de réunion CODEP.
Est-ce le champ d’action d’un technicien ou spécialiste solution de se substituer à son manager ?
Réponse :
A l’occasion d’un Comité de département, le directeur peut inviter qui il souhaite. Il n’est pas nécessaire que l’invité soit un manager.
Question n°5
Est-ce normal que dans certaines équipes, lors du repas de convivialité, il a été demandé aux salariés de payer leur note de frais plafonnée à 19 EUROS alors que pour cet événement la somme allouée par l’entreprise est de 30 euros par personne ?
Réponse :
Les 30 euros évoqués représentent un repère annuel. De ce fait, la gestion du budget convivialité est à la discrétion du management dans le cadre de ce budget annuel.
Question n°6
Des réunions sont programmées à 17H voire plus tard. Merci à la direction de faire un rappel sur l’accord vie privée/vie professionnelle pour que les réunions se tiennent dans la plage horaire de travail des salariés et en tenant compte des éventuels déplacements liés aux sites distants ne correspondant pas à leur site de rattachement.
Réponse :
Un rappel sera fait dans ce sens.
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